I.- Compréhension du texte
1°/ Titre : « Le mouton de Benfa » ou « Un mouton bien entretenu ».
2°/ Le mouton du père Benfa avait un traitement de faveur parce qu’ « il accompagnait souvent son maître »
« Le père Benfa le caressait jalousement »
« Aucune de ses femmes n’osait se plaindre ».
II.- Vocabulaire
3°/ Deux homonymes de « cou » = coup , coût
Un antonyme de « embonpoint » = maigreur
Un synonyme de « choyé » = gâté
4°/ Les noms formés à partir des verbes suivants :
-caresser - la caresse ; -offrir - l’offre ou une offrande
-amuser - l’amusement ; -acheter - l’achat
5°/ Deux mots de la même famille que « furieux » :
furie, furieusement ou fureur
III.- Grammaire et maniement de la langue
6°/ Nature et fonction :
- l’ : pronom personnel, complément d’objet direct du « admiraient »
- souvent : adverbe de temps, modifie le sens du verbe « accompagnait »
- au père Benfa : groupe nominal prépositionnel, complément d’attribution du verbe « avait offert »
- aucune : pronom indéfini, sujet du verbe « osait »
7°/ La subordonnée :
a) « dont jouissait la famille. » : proposition subordonnée relative, complément de l’antécédent « bonne chère ».
b) Fonction du pronom relatif « dont » : complément d’objet indirect du verbe « jouissait ».
8°/ a) La phrase est à la voix active
b) La voix inverse (voix passive) : De fortes sommes avaient été offertes au père Benfa par des marchands.
9°/ a) Les vieux du quartier l’admiraient parce qu’il était bien nourri et propre. (rapport de cause)
b) Il était bien nourri et propre de sorte que les vieux du quartier l’admiraient. (rapport de conséquence)
10°/ Analyse logique
-Le père Benfa le caressait jalousement : proposition indépendante
-et devenait furieux : proposition principale coordonnée
-lorsque les enfants s’amusaient à faire tinter la clochette : proposition subordonnée conjonctive introduite par la conjonction de subordination « lorsque », complément circonstanciel de temps du verbe de la principale « devenait ».
-que le mouton portait au cou : proposition subordonnée relative, introduite par le pronom relatif « que », complément de son antécédent « clochette ».